20 Oct « Au secours! Ma mère possède 9 parapluies! » ou en quoi le désencombrement est une démarche très personnelle.
Ma maman, je l’adore! Elle est très gentille et généreuse. Elle nous donne beaucoup d’amour à sa façon.
Depuis que j’ai décidé d’être plus ordonnée, j’ai un petit jeu quand je vais chez elle. Il ne faut pas lui dire mais,… je compte les choses qu’elle a en plusieurs exemplaires: 9 parapluies (pourquoi? je ne sais pas…), une quantité phénoménale d’assiettes (bon, d’accord, mes parents ont souvent de grandes tablées), des bibelots amoncelés sur le haut de la cheminée et le plus étrange, 3 balais à WC (pour les mêmes WC, là, j’avoue que je ne comprends pas!). Et j’en passe parce que cet article est censé être bref..;-)
Pour moi qui suis devenue consultante en rangement, cela aurait pu me rendre zinzin! Mais non! D’ailleurs, ma maman vit très bien comme ça et ne m’a jamais demandé de l’aider à désencombrer parce qu’elle n’en a aucune envie.
J’ai compris que son chez soi et ce qu’il contient font partie intégrante d’un être, des ses envies, de son vécu. Par conséquent, cela n’admet aucun jugement de valeur.
Désencombrer son intérieur est un besoin intérieur que tout le monde ne ressent pas. On ne peut pas forcer quelqu’un à s’engager dans cette démarche.
Par contre, si vous vous en ressentez le besoin, vous pouvez soit vous procurer mon livre Le Cercle Vertueux du Tri (éditions Hachette Pratique, suivre ce lien), soit me contacter pour que je vienne vous aider, sans à priori ni jugement, bien évidemment!
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